Evénements

Grace aux recherches de l’historienne, la Martinique a découvert que 150 soldats martiniquais morts à la guerre n’étaient pas inscrits sur les monuments aux morts. Certaines communes, tels le Vauclin, le Robert, Sainte-Anne ont apposé des plaques avec les noms des soldats le 11 novembre 2006.

Le journal de TF1 du 11 novembre 2006 en a parlé.
Les communes de Saint-Joseph, Saint-Esprit, Lamentin, Sainte-Marie ont promis de suivre cet exemple pour le 11 novembre 2007.

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GAUCHE CHAROLLAISE

11 Novembre 2006 : Les « poilus » martiniquais réhabilités

Le samedi 11 novembre 2006 Les noms de 150 « poilus » martiniquais vont être inscrits sur les monuments aux morts de l’île à l’occasion du 11 Novembre. Ces combattants décédés lors de la guerre de 1914-1918 avaient été oubliés par distraction des familles ou de l’administration.

150 « poilus » martiniquais

Il s’agit des derniers des 1 876 soldats français de la Martinique officiellement « morts pour la France », sur les 8 788 envoyés se battre. Ils étaient partis par patriotisme et parce que, pas davantage que leurs compatriotes, ils n’avaient pas le choix. Leurs élus avaient expliqué qu’il fallait repousser l’ennemi hors du territoire national. A l’époque, cet engagement marquait de surcroît la volonté des habitants des colonies de s’assimiler, de se montrer des Français à part entière, de chérir la mère patrie jusqu’à vouloir verser « l’impôt du sang ». Les Français de Guadeloupe et de Martinique étaient en effet déjà des citoyens, à la différence des « indigènes » d’Afrique. Il n’y a d’ailleurs pas eu de bataillons antillais. Ces soldats furent dispersés dans toutes les unités et il y eut, proportionnellement, autant de morts blancs que noirs dans leurs rangs. Le geste en l’honneur des 150 est né de l’opiniâtreté d’une historienne martiniquaise, Sabine Andrivon-Milton, qui a consacré sa thèse à la Martinique pendant la première guerre mondiale et présente à la Bibliothèque Schoelcher de Fort-de-France une exposition sur ce thème : « Je voulais compléter les cases manquantes de notre histoire », explique-t-elle, sans sacrifier pour autant au discours de victimisation affirmant que ces soldats étaient moins bien traités que leurs compatriotes de métropole : « Pendant la période hivernale, les Antillais étaient repliés sur l’Afrique du Nord ; à Paris, ils bénéficiaient d’un « foyer colonial » qui leur était réservé ; des recommandations spéciales étaient prises pour qu’on prenne soin d’eux, au niveau de la santé et de la nourriture. » Pour les oubliés réhabilités, des cérémonies ont été organisées dans plusieurs des 34 communes de la Martinique. Ainsi, au Vauclin, place Charles-de-Gaulle, une plaque de marbre comportant douze noms va être ajoutée sur le monument aux morts à côté de celle listant depuis des lustres les 86 enfants de la commune morts à la guerre : « Il y a des Vauclinois, raconte le maire (socialiste), Raymond Occolier, qui ne savent pas que leurs parents ont participé à la guerre et ils passent à côté du monument sans le voir. De même, il y a des combattants aussi méritants que d’autres, tombés dans l’anonymat et qu’il faut honorer pareillement. Dans notre imagerie populaire, nous n’avons pas de Jeanne d’Arc ni de Godefroy de Bouillon, mais des humbles qui ont apporté leur contribution contre la barbarie. En 1914, les fils des colonies se sont souvent portés volontaires pour défendre
la France et, dans ces moments de grande difficulté, partager le pire comme le meilleur avec leurs frères de métropole. »

Pour les familles, le symbole est important : « C’est une excellente chose, se félicite Denise Thimon, dont le grand-oncle, Léon Nubul, est mort loin du Vauclin à 23 ans. Jusqu’à présent, on ne s’était jamais occupé de ces hommes partis si jeunes. » Pour sa part, Lucien Baste, arrière-arrière-petit-neveu de Jacques Thimon, autre réhabilité, ignorait tout de cet aïeul. L’Histoire et ses propres recherches généalogiques le lui ont fait découvrir et il se réjouit qu’elles lui permettent de rencontrer des parents qu’il ne connaissait pas et qu’elles conduisent les Martiniquais à s’approprier leur passé. C’est ainsi qu’un poilu mort il y a près d’un siècle rapproche des vivants du XXIe siècle. Le combat de Mme Andrivon-Milton va se poursuivre avec l’hommage dû à 48 soldats martiniquais qui, eux, n’avaient pas obtenu la mention « morts pour la France » alors qu’ils avaient bien succombé au front. Aujourd’hui, deux communes n’ont pas de monument aux morts : Sainte-Luce – mais un projet est à l’étude – et Saint-Pierre, qui a été rayée de la carte des communes de France après la catastrophe de la montagne Pelée qui l’a anéantie en 1902, et qui n’a été réinscrite qu’en 1923.

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Martinique: Les oubliés de l’histoire sont désormais connus

Samedi, Novembre 11, 2006 C’est une jeune historienne martiniquaise qui est à l’origine d’une réparation : 150 soldats de la Grande Guerre originaires de l’ile et tués pour la France n’avaient jamais figuré sur aucun monument aux morts.Ce vendredi matin au Vauclin, c’est une injustice vieille de près d’un siècle qui a été réparée. Le nom des 12 soldats originaires de la commune et morts pour la France durant la Première Guerre mondiale figure enfin sur une stèle. Avec Fort-de-France (20), Saint-Joseph (14), le Lamentin (13) et Sainte-Marie (15) , le Vauclin est la commune où le nombre de soldats tombés pour la France durant la Grande Guerre est le plus important. Ils sont au total 150 originaires de toute l’ile à être restés pendant toutes ces années, des héros de l’ombre. Jusqu’à ce qu’une jeune historienne martiniquaise, Sabine Andrivon-Milton retrouve leur trace dans le cadre d’une thèse. Patiemment, elle a ainsi établi la liste de tous ces soldats en s’appuyant sur les documents qui avaient enregistrés tous les militaires morts au front. Car curieusement, ces documents-là mentionnaient bien le nom des soldats Martiniquais. Mais ils disparaissaient ensuite des listes des anciens combattants gravées sur les monuments aux morts. Fort-de-France leur rendra hommage demain, 11 novembre .

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L’histoire ne les oubliera désormais plus

Par Black Grand, dimanche 12 novembre 2006 à 14:20 | Général | #50 | rss

Alors qu’avec la sortie du film « Indigènes » les hautes autorités de l’Etat s’accordent enfin à reparer une autre des grossières injustices dont furent victimes les combattants originaires des anciennes colonies Françaises, c’est cette fois-ci une jeune historienne martiniquaise, Sabine Andrivon-Milton qui aura menée jusqu’au bout cette autre bataille. Les 12 soldats de la Grande Guerre, tous originaires de l’île, morts pour la France et trop longtemps ignorés, figurent enfin sur le monuments aux morts au Vauclin. Le Vauclin est l’une des commune qui a paya le prix le plus lourd en nombre de soldats tombés au combat. C’est au hasard de la préparation de sa thèse que l’historienne, étudiants les documents militaires de l’époque s’aperçoit des divergences entre les régistres militaires et les monuments aux morts. Certains ironisent, prétextant qu’il s’agissait à l’époque de faire des économies dans le budget de la commune. Mais grâce à la tenacité de l’historienne et la bienveillance des autorités, un hommage sera enfin rendu le 11 novembre à Fort-de-France aux héros oubliés, à ces hommes morts au combat pour ce pays qu’ils ont tant chéris.

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« Oubliés de l’histoire », 150 anciens combattants de 14-18 honorés A la veille du 11 Novembre, jour de l’armistice une cérémonie a été organisée en mémoire de 12 soldats Vauclinois morts durant la 1ère guerre mondiale.

Par Elodie Jeanneron DOMactu.com, lundi 13 novembre 2006 03:12

C’est notamment grâce aux recherches effectuées par l’historienne, Sabinne Andrivon-Milton que les noms de ces 12 soldats Vauclinois ont été retrouvés dans les archives militaires. Un travail de recherche intense qui s’est étalé sur une longue période, 4 ans au total. Sur le plan historique, il faut savoir que partis très jeunes de la Martinique, plus de 1800 soldats antillais morts sur le champ de guerre, certains des suites de leurs blessures, d’autres portés disparus ou tués par l’ennemi. Un hommage posthume a donc été rendu dans toute la Martinique à 150 soldats martiniquais tués pendant la grande guerre et dont le nom ne figure sur aucun monuments aux morts. Parmi les commémorations organisées dans le département, la municipalité du Vauclin a décidé d’ajouter une plaque portant les noms des 12 soldats afin de marquer l’évènement et réparer cet « oubli de l’histoire ». Les familles des 12 soldats en question étaient présentes lors de cette cérémonie commémorative tout comme la Sous-préfète, le contre-amiral des forces armées aux Antilles ainsi que des représentants des associations d’anciens combattants et d’élus du Vauclin. Plusieurs écoles de la commune ainsi qu’un lycée du sud ont fait également le déplacement pour l’occasion. Enfin une exposition consacrée à tous ceux qui ont versé leur sang pour défendre la patrie se tient en ce moment à la bibliothèque Schoelcher à Fort de France et ce jusqu’au 22 novembre prochain.
Publié le : 13/11/2006 03:12
Auteur : Elodie Jeanneron

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L‘histoire Publié le 10/11/2007

Auteur: Daniel Boli

Combien de Martiniquais sont morts sur le front lors de la grande guerre ? Certes, il existe dans toutes les villes de Martinique un monument aux morts avec le nom des soldats mais cette liste est loin d’être complète. Une historienne a mené l’enquête et son livre révèle plus d’une centaine de soldats martiniquais morts durant la guerre et oubliés.

Sabine Andrivon Milton est historienne et professeur au lycée du Robert (Nord Atlantique). Elle s’est passionnée pour la grande guerre et surtout à la participation des jeunes Martiniquais. C’est ainsi qu’a vu le jour une enquête minutieuse qui permet aujourd’hui de savoir que beaucoup de jeunes Martiniquais partis sur le front ont été enterrés dans les tranchées, d’autres inhumés dans les cimetières militaires de l’hexagone.
L’enquête de Sabine Andrivon Milton va l’emmener à consulter des documents de l’armée. Pendant plusieurs années, elle va comparer les listes et au bout du compte elle est convaincue qu’il manque des noms. Au moins 150 soldats martiniquais ont été oubliés. Leurs noms ne sont inscrits sur aucun monument. Ils sont morts dans les batailles, certains enterrés directement sur place dans les tranchées des Dardanelles par exemple.

Il fallait bien que cet oubli de l’histoire soit réparé un jour. C’est ce que l’historienne tente de faire avec l’aide des villes qui le veulent bien. Une plaque portant le nom des soldats oubliés a été ainsi ajoutée sur certains monuments aux morts comme l’a fait la ville du Vauclin (Sud Atlantique) l’année dernière. Cette année, plusieurs autres communes lui ont emboîté le pas pour un devoir de mémoire indispensable, qui permet de rendre hommage à ces soldats.


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Deux autres sites en parlent:
http://www.mazulio.fr/news/index.php?numero_news=2
http://www.newmedia-fr.info/ixm_ixpnews.php?file=print&story_id=23440

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Dans le cadre de la commémoration des 100 ans d'Aimé Césaire, organisés par le Comité d'Action Sociale des Originaires des D.O.M de l'Isère (CASOMI), voici les différents événements qui ont ou auront lieu durant l'année 2013.

Discours de M. Ibrahim Dimé Président de l'Amicale Sénégalaise de l'Isère /Comité du Centenaire d’Aimé Césaire- Qu’elles sont belles, les toucouleurs du monde même sans leur sourire lumineux :

Nous sommes déjà le lendemain du 8 mars, la journée dédiée à toutes les femmes du monde.

Aujourd’hui, à bon escient, nous jouons les prolongations en voulant prêter une attention particulière aux femmes du Sud. A Saint Martin d’Hères, on a pris conscience qu’il faut plus d’un jour pour honorer toutes les « femmes courage » au pays des droits de l’homme, de l’enfant et des femmes. Et le prétexte est tout trouvé lorsque la célébration du centenaire de la naissance d’un grand homme du Sud, défenseur des droits et des libertés et garant des valeurs de civilisation du monde noir, est tant attendue. J’ai nommé Aimé Césaire, né le 26 juin 1913 en Martinique, l’homme qui, à travers la négritude toute sa vie durant, honora toutes les femmes du Sud. Aussi, si Césaire signifiait « homme », Cela vaudrait aussi pour « femme » et ainsi, Aimé Césaire aurait pour sens « Aimé les femmes ». Mais plus simplement, je les appellerai pour la circonstance : Femmes du Sud, « les Aimées de Césaire ».

Les « femmes courage », martinéroises ou dauphinoires, blanches, jaunes, métisses avec ou sans fard, sont de toutes les couleurs du monde. Ainsi, on pourrait dire des Femmes du Sud, l’arc-en-ciel de l’humanité.

– Qu’elles sont vives, les toucouleurs du monde dans leur génie de tous les jours ;

– Qu’elles sont grandes, les toucouleurs du monde dans leurs faits et gestes de tous les instants ;

– Qu’elles sont fières, les toucouleurs du monde dans leur allure respective et leur silhouette sublime car :

  • Enfants, elles sont l’innocence même ;
  • Adolescentes, elles sont le ravissement même ;
  • Jeunes filles, elles sont la volupté même ;
  • Amies, elles sont le dévouement même ;
  • Épouses, elles sont à la fois tendresse et affection pour le mari même ;
  • Mères, elles sont l’attention pour les uns et la patience pour les autres mêmes;
  • Belles-mères, elles sont avisées et bonnes conseillères pour qui voudrait tout de même;
  • Grand-mères, elles sont éclairées et sages, l’aboutissement sans nul doute, d’une vie bien construite par elles-mêmes.

Les Femmes du Sud, avec ou sans voile, avec des ongles vernis ou pas vernis voire longs ou courts, des cheveux tressés ou pas tressés, avec des talons hauts ou bas, en pantalon ou en mini-jupe, avec parures ou sans parures, sont restées trop longtemps dans l’ombre des hommes mais n’en ont pas moins le sens du devoir bien accompli. Si depuis l’aube de l’humanité jusqu’à nos jours, les Femmes du Sud portent le fardeau du monde, tous les hommes sur terre auraient le plus grand intérêt à labourer le jardin des libertés féminines qui étendront à l’infini les leurs et à jamais dans la cité.

Cet hommage aux Femmes du Sud, par le regard d’Aimé Césaire, ne serait pas possible si une ville pas comme les autres Saint Martin d’Hères que je qualifierai la Sainte Mère des humanités, n’avait pas une âme et n’était pas une cité sur-mesure pour des humains. Une grande commune plus qu’elle n’y paraît car : une ville universitaire, une ville industrielle accessible, à taille humaine et citoyenne de surcroît aux nombreux lieux de vie très prisés comme la salle Romain Rolland, à l’avenue Romain Rolland dans le quartier Romain Rolland.

Bravo à la sainte mère des humanités urbaines, j’ai nommé la ville de Saint Martin d’Hères ! 2

Cet hommage est rendu possible par la volonté des élus qui ont soutenu cette initiative à savoir Madame Antonieta Pardo Alarcone et Monsieur. Ibrahima Diallo, et à l’accompagnement de Madame Hélène Milliex, chargée des affaires culturelles à la maison communale de Saint Martin d’Hères. Cet hommage est rendu possible grâce aussi à la Maison de la Poésie par sa brigade d’intervention poétique animée par une forte personnalité Madame Brigitte Daïan, une grande dame, une professionnelle chevronnée, une femme quoi.

Nous remercions particulièrement deux « aimées de Césaire » Mesdames Haby Coulibaly et Sylvie Renoud Grappin actrices de l’entretien filmé sur les femmes du Sud, sans oublier Mademoiselle Kany Coulibaly présente au moment du tournage. Merci à Madame Linda El Haddad, conseillère municipale à Grenoble et à Madame Françoise Laurant du Planning familial pour ses actions hautement citoyennes auprès des femmes d’ici et d’ailleurs.

Cet hommage a été rendu possible grâce aux associations constitutives du comité pour le centenaire d’Aimé Césaire. Il s’agit des associations antillaises CASOMI, AFODOMI, du collectif Racines, de l’association Alizée Production et de l’Association des sénégalais de l’Isère. Nous saluons les contributions majeures de Philippe Alain Yerro dit Abkenjah par l’impulsion, la dynamique et la formidable production intellectuelle et artistique.

A Madame Muriel Vicini, je dis : vous êtes membre du comité, « l’aimée de Césaire pour de coeur et de raison », une femme aux origines multiples : africaine, antillaise, française, suédoise, italienne européenne et sans doute américaine ou australienne par empathie. Vous n’avez jamais renoncé à vos origines, vous avez incarné ce que Aimé Césaire a pensé et voulu insuffler aux hommes, l’ouverture au monde et à l’universalité. Merci pour vos contributions multiples pour la mise en place du centenaire : réunions, visuels, suggestions et forte implication personnelle.

Si l’homme est un arbre qui fait beaucoup de bruit au souffle du vent de la société, la femme est cette forêt qui pousse dans le plus grand silence. Si la femme n’est pas à l’origine du monde car issue de la fameuse petite côte, elle en porte l’avenir et en incarne le devenir depuis la nuit des temps. Aussi, face aux solidarités insuffisantes de nos sociétés actuelles, les libertés des femmes étendraient à l’infini celles de tous les hommes. Ainsi, grâce aux valeurs féminines montantes, ces nouvelles libertés conquises contribueront à endiguer les malheurs du monde et enrayer durablement la misère humaine actuelle. C’est pourquoi, en cet instant solennel, nous demandons aux élus de Sainte Mère des Humanités, de décider par arrêté municipal, une deuxième journée des femmes, le premier samedi qui suit le 8 mars de chaque année, pour rendre hommage, d’année en année, toutes les catégories de femmes, les toucouleurs du monde. Nous demandons aussi, à Sainte Mère des Humanités, de désigner un lieu de vie culturel, espace Aimé Césaire, un sanctuaire du nègre fondamental géré par la Maison de la Poésie, le Centre des arts du récit, le comité Aimé Césaire et le planning familial. Il s’agit d’honorer, chaque année, par un prix Aimé Césaire attribué à la femme courage parmi les femmes courage, aux plus talentueuses parmi les talentueuses dans les domaines socioculturels de l’art, du récit, de la poésie et des actions citoyennes significatives. Entre l’infiniment grand que sont les montagnes qui nous entourent et l’infiniment petit qui, comme les « nanotechs », conditionne de plus en plus nos vies au quotidien, il y a la femme, la martinéroise et la dauphinoire, l’habitante et la résidente, l’allogène et l’indigène ; la citoyenne, celle dont le génie multimillénaire contribuera longtemps encore à façonner nos cadres de vie : la famille, l’école, le quartier et la cité.

Pour terminer, je vous propose une ovation nourrie pour la ville de Saint Martin d’Hères et vous invite à une ovation encore plus nourrie pour toutes « les femmes courage du monde».

Merci à toutes et à tous !